Si la Gestalt-thérapie a, dès son origine, laissé une place importante aux émotions - comme éléments de la Fonction ça et indicateurs précieux de la situation, les neurosciences abondent aujourd'hui aussi dans ce sens.
Contrairement à une idée courante qui veut qu'émotionnel et rationnel s'opposent, avoir une conscience claire et fine de ses émotions permet de prendre des décisions plus ajustées à l'expérience en cours car raison et émotions peuvent s'étayer l'une l'autre. Qualifiées agréables ou désagréables (et non positives ou négatives ce qui dénote une norme sociale), les émotions peuvent donc ne plus être l'apanage des psychothérapeutes et retrouver toute leur place dans le monde du travail. Pour plus de détails : lire l'article d'Ilios KOUTSOU "Ecouter nos émotions nous rend libres" dans Cerveau et Psycho n°89 de juin 2017 http://www.cerveauetpsycho.fr/ewb_pages/a/article-couter-nos-emotions-nous-rend-libres-38445.php Les commentaires sont fermés.
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AuteurPierre-André Beley, psychosociologue et Gestalt-thérapeute, praticien en psychothérapie à Strasbourg. Archives
Septembre 2023
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